L'homme derrière la bouteille!
- Sylvain Carbonneau
- 1 avr. 2023
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 26 avr. 2024

Bonsoir à vous.
Exceptionnellement, pour cette toute première chronique, je ne ferai pas l'analyse d'un vin, mais plutôt celle d'une homme derrière tout le travail qu'implique la viniculture.
Parfois, il y a des parcelles mythiques, parfois des cuvées hors-normes, et aussi des paysages à couper le souffle, mais quelques fois il y a juste un homme et un terroir qui font la différence. Je parle ici d’Alain Brumont que tous connaissent je crois, de par son château Montus ou son château Bouscassé. Je pense bien qu’il a remis le Madiran et son fabuleux cépage tannat sur la carte. Pourtant sa méthode est simple : l’eau, soigner la terre, entretenir les paysages.
Des vignobles situés au sommet des collines. L’utilisation uniquement d’eau de source prélevée. La préservation de la flore naturelle. Une orientation des rangs avec un ensoleillement de plus de 15 heures. Un travail sur la grappe unique en triant et triant encore les raisins sains. Nous sommes très choyés à la SAQ pour le choix de ses vins. Quoique La Tyre et le Montus Prestige, de même que le XL ne sont pas revenus depuis belle lurette du côté de Montus, ainsi que ses cuvées les Menhirs et Argile Rouge et ses vins de dessert du côté du château Bouscassé. De même que les 2 cuvées du château Laroche-Brumont, l’Église et la Grange (exploité avec Fabien Merlou depuis 2002) dont j’avais réussies à obtenir les dernières bouteilles 2008.
Je voulais juste ouvrir cette parenthèse que je trouvais nécessaire...
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Bonne soirée à vous.
Sylvain
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